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jeudi 13 décembre 2007

Rabat, le Royal Golf

Admirablement dessiné par Sr Robert Trent Jones, c’est incontestablement l'un des plus prestigieux golfs de la planète.
Ces 36 trous + 9 écoles font rêver les golfeurs du monde entier. La Fédération Royale Marocaine de Golf et le Trophée Hassan II qui s'y déroule chaque année en ont fait un golf de renommée internationale. Chaque coup doit être réfléchi et les bunkers ont été disposés de façon à happer les drives les plus osés, d'éblouissants fairways parmi les cyprès, palmiers, eucalyptus, chênes-lièges, les agrémentant de luxuriants ficus, bananiers, papyrus, y répandant les senteurs délicates des mimosas,
roses, jacinthes, hibiscus, narcisses...
Parcours Rouge : 6702 m 18 trous par 73 ; Descendre sous le score de 70 est un exploit que peu de professionnels réussissent. Indispensable de bien placer son drive, les arbres et le sable ne pardonnent pas. L'eau non plus. Elle fait entrer le trou 9 dans la légende avec ses 172 mètres à jouer au dessus des nénuphars. Elle accompagne les 481 mètres du 12 et ferme les angles de son green. Sur l'autre rive, elle se montre source de beauté, sublime miroir de colonnes romaines, issues de l'antique cité de Volubilis.
Parcours Bleu : 6220 m -18 trous - par 72 ; Buissons de marguerites blanches, massifs de fleurs des champs, roses, oranges, rouges, tapis de fleurs violettes: les fairways possèdent un charme bucolique. Le trou 11, romantique et sublime par 4, recèle un green blotti entre des eucalyptus, un bunker de sable rouge et un étang survolé par des poules d'eau. Ce 18 trous par 72 se montre plus accessible que le parcours rouge. Mais attention à votre jeu, le parcours bleu cache bien le sien.
Parcours Vert : 2060 m - 9 trous - par 32 ; Moins de contraintes et plus d'aisance pour ce clément 9 trous, formé uniquement de par 3 et 4 aux solutions divertissantes. Ne vous laissez pas trop distraire par les jolis pique-boeuf qui suivent le jeu coup à coup.

mardi 4 décembre 2007

Civilisations Antiques du Maroc - L'époque Phénicienne

La tradition littéraire rapportée par Pline l'Ancien situe le début de la présence phénicienne sur les côtes marocaines vers la fin du XIIème siècle av. J.-C., en plaçant Lixus en tête des première fondations d'occident.
Cependant, les traces archéologiques d'une occupation phénicienne ne dépassent pas le premier tiers du VIIIème siècle. A côté de Lixus, Mogador, considérée comme le point le plus extrême en occident, était très fréquentée à l'époque phénicienne. Les recherches récentes ont amplement enrichit la carte du Maroc à cette époque par la découverte de nouveaux sites notamment sur le littoral méditérranéen.

mercredi 14 novembre 2007

Le Néolithique

Le Néolithique qui succéda à l'Ibéromaurusien est connu au Maroc vers 6000 ans B.C.
Cette civilisation est caractérisée par l'apparition de l'agriculture, la sédentarisation, la domestication, la fabrication de la céramique et l'utilisation des haches polies…Plusieurs sites du Maroc ont révélé des niveaux se rattachant à cette culture: Kaf Taht el Ghar , Ghar Kahal, Boussaria , les grottes d'el Khill et la nécropole de Rouazi Skhirat…

Riad Essaouira

lundi 29 octobre 2007

Laâyoune, Le musée des arts du Sahara

Ouvert en 2001, Le musée des arts du Sahara de Laâyoune est situé au sein de la maison de la Culture, il présente à travers ses collections le patrimoine culturel saharien et le désert Marocain...
Constituée de collections qui représentent l’artisanat local, bijoux, costumes féminins, instruments de musique, ensemble de selles, objets en cuir, reconstitution d’une école coranique, présentation d’une tente nomade, et des accessoires du dromadaire qui représente l’animal le plus prisé au Sahara…

mercredi 24 octobre 2007

Oukaïmeden , la vallée aux villages

C'est une balade agréable, accessible à tout marcheur quelque soit son niveau.
Les villages typiques : Gliz, Agadir, Tidli, Tinoughar, leurs habitants, l'économie agricole basée sur un système millénaire d'irrigation et de terrasses d'une grande ingéniosité, une forêt de génévriers thurifères "Le bois des fiancés", tout est là pour donner aux randonneurs un bon aperçu de la montagne marocaine et de ses spécificités.
Au départ de l’Oukaïmeden, monter vers le col de l'ancienne parabole, puis piquer par le chemin muletier vers la vallée et les villages. Le retour par le
même chemin.

vendredi 28 septembre 2007

Chefchaouen, histoire de la ville


La construction de la ville de Chefchaouen fut fondée en 1415 par le Chérif Moulay Ali Ibn Rachid. Son entreprise s’inscrivait dans un contexte de résistance locale à la conquête Portugaise et Espagnole…
L’arrivée massive de familles andalouses durant la période de la Reconquista Espagnole contribua au développement démographique et architectural de la ville.
En plus de son rôle militaire, Chefchaouen a constitué à travers son histoire un pôle religieux et spirituel qui exerçait une influence régionale mobilisatrice contre le danger ibérique.
Chefchaouen compte un important patrimoine religieux : 20 mosquées et oratoires, 11 zawiyas et 17 mausolées ; ceci lui a valu le nom de El Madine El
Saliha « la ville sainte »
Chefchaouen resta longtemps fermé aux européens, seul Charles de Foucauld en 1883 réussit à y pénétrer au cours de sa fameuse « reconnaissance à travers le Maroc » en se faisant pour juif…mais n’y resta qu’une nuit.
En 1920, les Espagnole prirent Chefchaouen, qu’ils rendirent en 1956 au royaume du Maroc

jeudi 6 septembre 2007

Tiznit, histoire de la ville


La fondation de Tiznit remonte à 1882 après l’expédition militaire du sultan Hassan I dans la région du Sous.
Le besoin de créer Tiznit fut dicté par la volonté de planter un poste militaire afin de contrôler l’arrière pays, et de parer à toute pénétration européenne depuis l’atlantique.
Comme tous les grands ouvrages défensifs du Maroc, l’enceinte de Tiznit fut élevée selon le modèle des fortifications des villes marocaines.
L’intérieur de la ville offre l’aspect d’un tissu traditionnel répartie selon des quartiers. Les maisons sont aussi de type traditionnel et rappellent, pour certaines
demeures, les grands riads de Marrakech. Parmi les monuments qui caractérisent la ville de Tiznit on trouve le palais du Khalifa (Qasr el khalifi) qui abritait le représentant du Sultan, la place du Méchoir et la grande mosquée.

mercredi 5 septembre 2007

Tiznit, la Médina


Les remparts de 7 km de long et 8 m de haut sont flanqués de 56 tours et percés de cinq portes.
Les 5 portes : Bab Aglou, Bab el Khemis, Bab Targa, Bab el Maader et Bab Oulad Jerrar furent réalisées dans la plus pure tradition Alaouite et rappellent très fortement celles de la ville d’Essaouira.

mardi 3 juillet 2007

Ouarzazate, la Kasbah de Taourirt

La Kasbah de Taourirt : par son importance, son architecture et sa décoration, c’est l’une des plus belles du Maroc (classée monument historique). Elle fut, la plus grande résidence du Glaoui, le pacha de Marrakech.
Ses bâtiments en pisé flanqués de tours crénelées, s’étagent sur des plans superposés, sur fond de murailles crépies de rose et creusées de dessins géométriques. On peut visiter quelques pièces des anciens appartements du Glaoui, dont la salle à manger et la chambre de la favorite (…), qui ont gardé leur décoration de stuc peint et leurs plafonds en bois de cèdre.
De la terrasse, vue remarquable sur le village fortifié berbère de Taourirt (antérieur à la ville de Ouarzazate, datant du XIIIème
siècle), la vallée et ses oasis, et les montagnes cernant l’horizon.

jeudi 14 juin 2007

Ouarzazate, les studios de cinéma

Ouarzazate est devenue le centre cinématographique du Maroc.
De nombreuses productions à la renommée internationale ont été tournées dans cette région : ‘Lawrence d’Arabie’, ‘Gladiateur’, ‘Un thé au Sahara’, ‘L’Homme qui voulut être roi’, ‘La dernière tentation du Christ’, ‘Astérix’, ‘Kundun, et plus récemment ‘Alexandre le Grand’, etc. La plupart des films sont réalisés dans les "Atlas Studios" Si vous arrivez de Marrakech, vous ne pourrez les manquer, les 2 grands studios sont situés sur votre droite, juste à l'entrée de Ouarzazate.

mardi 5 juin 2007

Taroudant, la Médina

Les remparts de 7,5 km sont jalonnés de 130 tours, 19 bastions d'angle et percés de cinq portes.
Les 5 portes : Bab al-Kasbah, Bab Zorgan, Bab Targhount, Bab Oulad Bounouna et Bab El khemis, sont coudées et attestent de leur caractère défensif.

La plus importante par ses dimensions et par sa situation est la porte dite de "la Kasbah" ; elle se situe sur le flanc oriental à quelques dizaine de mètres de la Kasbah. C’est une porte bastionnée, flanquée par deux tours massives qui font saillies sur l'enceinte. Du côté sud, la ville est desservie par la porte dite "Bab Zorgane".

Cette porte ainsi que celles dites "Bab el Khemis" et "Bab Oulad Bounouna" sont toutes coudées et possèdent un vestibule à ciel ouvert. Bab Zorgane et Bab Sensla sont dominées par des tours bastionnées et par un chemin de ronde. De dimensions plus réduites que les précédentes,"Bab Targhount" a par contre un vestibule couvert .
La Kasbah occupe la partie nord-est de Taroudant. Elle est équipée de tours carrées de dimensions plus réduites que celles de la grande muraille.

jeudi 24 mai 2007

Taroudant, présentation de la ville



Entourée par de magnifiques murailles crénelées de terre rouge et par les cimes enneigées du Haut Atlas, Taroudant est la ville de marché berbère typique, qui n’a guère changé depuis des siècles.
C’est son éloignement qui a permis à Taroudant de devenir le refuge des princes rebelles désireux de défier le pouvoir, tout en étant une proie convoitée par les tribus du Sud. Son âge d’or survint au 16ème siècle avec l’avènement de Saadiens, qui en firent pour un temps leur capitale : grande productrice de canne à sucre, de coton, de riz, d’indigo, elle attire alors les caravaniers. Au 20ème siècle, incorrigible, elle reste un foyer d’agitation contre le pouvoir central : de 1912 à 1913,Taroudant fut le siège de la vaine résistance d’El Hiba, le « sultan bleu », qui s’était fait proclamer sultan à Tiznit après la signature du traité de Protectorat.
Le Tour des Remparts : longs de 7 km, ils entourent la ville, avec d’immenses jardins et vergers situés hors des murs (oliviers géants, eucalyptus, palmiers, grenadiers) ; percée de cinq portes, dont la principale est la majestueuse Bab el Kasba cette muraille date du début du 18ème siècle
Les Souks : quoique moins célèbres et moins importants que ceux de Marrakech, ils comptent parmi les plus animés du Sud Marocain, avec une profusion de choses diverses : bijoux en argent, objets anciens, sculptures de petits objets de pierre (en calcaire assez tendre, gris et rose, typique de cette région appelé « pierre de Taroudant »), tapis, cuivres, fusils (dont les crosses sont parfois de véritables œuvres d’art), peaux de mouton, etc.
Le « Marché Berbère » : c’est le nom du marché quotidien, où l’on y trouve un grand choix d’épices, de légumes, de vêtements et de céramiques (plus animé le dimanche)

lundi 14 mai 2007

Tinerhir


Une des plus belles palmeraies du Maroc!!
Ancien poste militaire, couronné d’une puissante kasbah, construit sur un piton rocheux (à 1 342 m d’altitude) et dominant une magnifique palmeraie (un vrai jardin d’Eden où vous pouvez flâner pendant des heures) - point de départ idéal pour les excursions dans les Gorges du Todra, les plus belles du Sud Marocain, réseau de défilés encaissés dont les parois rectilignes s’élèvent à une hauteur de 300 m, dans une gamme de rouges étonnante.

mercredi 9 mai 2007

Maison d'hôtes d'Erfoud





Sa structure de plain-pied en pisé traditionnel, ses patios, ses fenêtres en fer forgé et ses salles pavées de céramiques confèrent à l'endroit un charme authentiquement marocain. Impression renforcée par un accueil soigné, discret et attentionné.





terremaroc.com Maison d'hôtes d'Erfoud

C'est l'endroit idéal pour vous relaxer et profiter de la nature et découvrir les grandes dunes sahariennes…